Johnny Hallyday : l'idole des jeunes et des moins jeunes !
S'« il y en a même qui l'ont envié » (pour reprendre un de ses tubes),
son sort est loin d'être aussi reluisant qu'il y paraît.
Sa « réussite », comme bien des dorures, cache des dessous bien moins
spectaculaires. Il faut regarder dans les coulisses ou gratter le vernis.
Faut-il se corrompre pour paraître ?
Ces exemples de la chanson poussent à  examiner quelles valeurs
on place en priorité dans la vie et jusqu'où sommes-nous capables d'aller
pour briller éphémèrement, et goûter à  certains plaisirs, quitte à  vendre
sa vie au diable ou à fricoter implicitement avec lui ?
L'âme étant étymologiquement la vie et non une dissociation du corps
comme ce leurre axiomique le laisse croire.
Cette analyse anthropologique décortique les rapports aux idoles ou
aux dieux de proximité et les dangers qui en découlent.
Peut-on faire fi de ces facteurs ?
Peut-on rire de tout ?