L'école ou l'art de passer sous silence tout un noir passif à la française. Une apologie de la destruction identitaire, façon militaire, dans un internat drastique. Drame de l'humanité qui s'emploie à  nier et à  détruire son origine... On en voit, maintenant, les résultats à l'échelle planétaire. Les propagandes et lavages de cerveaux continuent inlassablement leurs effets délétères. Pourquoi donc changer de bain ? Il faudrait tout jeter...
Mais les lecteurs disent : «Ça vaut !», tant ils ont bien ri. Preuve que le rire sauve, du moins en partie, si ce n'est pas du ridicule. D'anciens rescapés des camps de la mort ont également fait part de ce jet d'esprit résistant, ensoleillé, tout comme un groupe d'enfants orphelins survécut, «tels des chiens errants», sous le déluge des bombes sur Sarajevo, «dans le conflit qui enflamma l'ex Yougoslavie au début des années 90», grâce au rire.